Par Tiphaine ATANGANA
Auteur de deux articles calomnieux contre cet homme d’affaires, le correspondant de Jeune Afrique au Cameroun s’est ravisé, sans toutefois supprimer les écrits allégués.
En Janvier dernier, une sommation interpellative exigeant la suppression pure et simple, de deux articles à charge parus dans Jeune Afrique, avait été servi au journaliste Franck Foute.
En même temps, un fac-similé de ce document établi à l’étude de Maître Kedi Jeannette, huissier de Justice près les tribunaux de Yaoundé, a été envoyé à la rédaction centrale du magazine parisien par lettre commandée.
Tandis que les régulateurs internationaux ont été saisis, pour la déclassification immédiate de ces articles diffamatoires, la probabilité de l’ouverture des poursuites judiciaires contre le journaliste, n’est pas anecdotique.