Par Tiphaine ATANGANA
Contrairement au silence assourdissant qui semble caractériser les tabloïds locaux, après le déclenchement de cet esclandre, le patron de la Fecafoot est parfois brocardé par la presse étrangère.
Depuis le déclenchement de la tonitruante affaire relative au trucage des matchs du championnat élite one, Samuel Eto’o fils a fait les gros titres, de plusieurs journaux réputés serieux sur le vieux continent. ” Eto’o au cœur d’un nouveau scandale” titre le quotidien français l’équipe, et plus loin poursuit notre confrère parisien :”Le président de la fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o fils est soupçonné d’avoir favorisé un club de D2 à monter dans l’élite“.
Avec la même tonalité, un autre tabloïd français Le matin parle de graves accusations de corruption, suite à la divulgation d’une discussion téléphonique privée.
Le président de la fédération camerounaise de football est suspecté d’avoir œuvré à la promotion d’un club de 2ème division, tranche t’il.
Mundo Deportivo, Corriera dello sport…
Dans la même lancée et sensiblement avec des termes identiques, le très sérieux tabloïd espagnol Mundo Deportivo, l’italien Corriere dello sport ou encore notre confrère en ligne tuttosport.com ; n’ont pas épargné l’ancien footballeur.