Par Christophe MVONDO
Dans ses traditionnels dossiers noirs, du samedi soir, le lanceur d’alerte Rémy Ngono pense que cette situation est consécutive à la visite avortée de Jean Marc Berthon, l’ambassadeur chargé des droits des personnes Lgbt dans le pays.
Le président de la république du Cameroun Paul Biya n’a pas pris la parole au sommet de Paris sur l’architecture des financements. Aucun des ministres, membres de la délégation officielle, n’a non plus été aperçu dans un panel ou une quelconque sous-commission. Le chroniqueur de café des sports sur Radio France Internationale révèle qu’il s’agit de représailles des autorités françaises ; après l’annulation in-extremis de la visite annoncée de l’ambassadeur Jean Marc Berthon au Cameroun.
TOP 50
En rejetant vivement, l’imposition de cette pratique hétérodoxe au Cameroun, Rémy Ngono a mentionné dans ses traditionnels dossiers noirs du samedi soir, que de nombreux jeunes camerounais sont victimes de chantage émanant des membres de l’establishment de Yaoundé et que c’est Paul Biya, lui-même qui est à l’origine de l’évolution de l’homosexualité dans le pays.
Après la publication du fameux Top 50, ce journaliste basé à Paris, estime que le successeur d’Ahmadou Ahidjo avait été le premier à dénoncer, cette chasse aux sorcières, au motif que cette pratique diabolique, relevait de la vie privée de ces individus.